Hors du Sénégal pour des raisons professionnelles, je mets en veilleuse l'administration du blog.
Merci à tous et à bientot.....
Management _ Conseil _ Formation
Hors du Sénégal pour des raisons professionnelles, je mets en veilleuse l'administration du blog.
Merci à tous et à bientot.....
Bonnes vacances à tous....
Siège Ministère de l’Education, pièce 229
Compte rendu de réunion
Le Réseau des acteurs de la Pédagogie Inclusive (RAPI) a tenu sa deuxième réunion ce lundi 28 juin 2010 dans les locaux du Ministère de l’Education autour de l’ordre du jour suivant :
1. Structuration du réseau
2. Ebauche de programme.
La présence d’une délégation d’élèves sourds et de leurs encadreurs du « Maryland School for the Deaf » (MSD) conduite par Madame Akema James Sarr, promoteur d’écoles et employée au BREDA a permis de faire un large tour d’horizon sur l’expérience et les préoccupations de la délégation.
Il a été retenu de contribuer et de participer à la marche qui sera organisée le Jeudi 08 juillet 2010 pour vulgariser les droits des personnes handicapées.
Les organisateurs devront préparer toutes les procédures pour la réussite d’une telle manifestation (autorisation administrative, logistique, invitations, déclaration…) Les échanges par mail devront continuer la préparation.
Après le retrait de la délégation, la réunion s’est rapidement focalisée autour du choix d’un coordonnateur du réseau, en la personne de Malick Soumaré, à charge de renforcer l’équipe et d’élargir les bases du réseau par les différentes structures et acteurs animés par le même idéal.
Le réseau ne doit pas être « une structure de plus », mais une synergie intelligente des différentes initiatives isolées pour la prise en charge correcte des intérêts de l’enfance handicapée.
Une ébauche de programme devra être fournie par le coordonnateur pour que les différentes structures se l’approprient. (cf. ci-dessous)
Un élan de solidarité, un sentiment d’estime mutuel et une recherche de complémentarité devront animer les membres du réseau.
PROPOSITIONS DE PLANNING /PROGRAMMATION
ACTIONS | CONTENU | RESPONSABLE | ECHEANCE | RESULTAT |
Structuration | Mise en place du réseau | Comité d’initiatives(CI) | Juin 2010 | Bureau est formé |
Recensement | Répertoire des établissements et acteurs engagés pour l’enfance handicapée | CI | Juin-juillet 2010 | Un répertoire est élaboré |
Planning | Repérage des activités intéressant le réseau | Le bureau | Juillet 2010 | Planning intégrant les actions |
Plan d’action | Une carte des activités, leur coût, le timing | Les établissements et le bureau | Juillet 2010 |
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Illustration
ACTIONS | CONTENU | RESPONSABLE | ECHEANCE | RESULTAT |
Journée du parrain | Célébration du parrain- sensibilisation sur un thème spécifique | |||
FORUM | ANPISED | MAI 2010 |
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Centre Aminata Mbaye | ASEDEME | 29 MAI 2010 |
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Centre Handiscole | Handiscole | 04 juin 2010 |
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CESES |
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SOS ENFANT SOURDS |
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ENFANTS AVEUGLES |
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Journées mondiales | Célébration de cas spécifiques | |||
JOURNEE MONDIALE DES SOURDS | CESES | SEPTEMBRE 2010 |
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JOURNEES DES PERSONNES HANDICAPEES |
| OCTOBRE/DECEMBRE |
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ACTIVITES SPECIFIQUES
ACTIONS | CONTENUS | RESPONSABLE | ECHEANCE | OBJECTIF |
Vaccination contre la poliomyélite | Participation aux séances de vaccination Message – démonstration | Groupe handicapés moteur | campagne |
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Dépistage drépanocytose | Communication- contrôle | Etablissements accueillant un public jeune | campagne |
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Atelier pour la scolarisation des enfants handicapés | Participation | Bureau | 14 et 15 juillet 2010 | Manifeste |
Vulgarisation de la Loi d’orientation sociale | Ateliers de lecture et de commentaires | Bureau | Campagne nationale | Traduction et diffusion |
Ont participé à la rencontre
PRENOM ET NOM | STRUCTURE | CONTACTS | |
MARIE LOUISE SOCK | CABINET LES LAURIERS | 775509133 | |
FODE B TRAORE | PEOPLE CENTER | 773697266 | |
ABASSE FALL | PEOPLE CENTER | 775104226 | |
ELHADJI DIALLO | PEOPLE CENTER | 776565899 | |
PAPA OUMAR FAYE | CESES | 776575092 | |
MALICK SOUMARE | DEP | 776552816 | |
NANCY DIAKHATE | PAILLON BLEU | 773729144 | |
PAPA SAMBA SALL | CORIPH | 775717766 | |
MARTIN O’BRIEN | MARYLANDSCHOOL FOR THE DEAF | 3013602000 | |
STACEY FARONE | MDS FD | 3013602000 | |
AKEMA JAMES SARR | IQRA | 775667106 | |
ANNA GAYE | HANDISCOLE | 776532396 | |
BLAKELY KYLE | MSD |
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WHITAKER GRANT | MSD |
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KRAMER DALTEN | MSD |
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POLZIN LIV | MSD |
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MANSFIELD-HOM HEATHER | MSD |
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SETZE ERIC | MSD |
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THURMOND SHEIBY | DEER-CREEK MACKINAW HIGH |
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Bonjour Fatou ! Bon courage...
Conditions d'admission
I - LE DÉPARTEMENT D’ÉTUDES EN SCIENCES SOCIALES
Conditions d'admission
· Être titulaire d’un bac ou d’un diplôme admis en équivalence.
· Être âgé de 18 ans au moins au 31 décembre de l’année du concours
Épreuves du concours
· Dissertation ;
· Commentaire de texte
Dossier de candidature et lieu de dépôt
· Une demande manuscrite adressée au Ministre de la Santé ;
· Un extrait de naissance de moins de trois mois ;
· Un extrait du casier judiciaire de moins de trois mois ;
· Une copie légalisée du diplôme requis ;
· Un certificat médical de visite et contre – visite ;
· Un certificat de nationalité sénégalaise ;
· Une enveloppe timbrée portant l’adresse du candidat ;
· 2000F de frais de dossier
Ouverture des dossiers: 02 Fevrier
Clotûre : 09 Mars
Les dossiers sont reçus à la Division de la Formation du Ministère de la Santé, de l’Hygiène et de la Prévention .
II - LE DÉPARTEMENT DES ÉTUDES SPÉCIALISÉES EN SCIENCES DE LA SANTE
Conditions d'inscription en année préparatoire
· Être de nationalité sénégalaise ;
· Être titulaire du bac ;
· Être âgé de 18 ans au moins au 31 décembre de l’année du concours ;
· Réussir aux tests psychotechniques de sélection.
Épreuve de sélection: tests psychotechniques qui ne demandent pas de préparation particulière.
Dossier de candidature
· Une demande manuscrite adressée au Ministre de la Santé ;
· Un extrait de naissance datant de moins de trois mois;
· Un extrait du casier judiciaire de moins de trois mois ;
· Une copie légalisée du certificat de nationalité ;
· Un certificat médical de visite et contre –visite de moins de trois mois ;
· Une copie certifiée conforme du bac ;
· Une enveloppe timbrée portant l’adresse exacte du candidat ;
· 2000F de frais de dossier
Les dossiers sont reçus à la Division de la Formation du Ministère de la Santé, de l’Hygiène et de la Prévention .
Conditions d'inscription en année préparatoire
· Être de nationalité sénégalaise ;
· Être titulaire du bac ;
· Être âgé de 18 ans au moins au 31 décembre de l’année du concours ;
· Réussir aux tests psychotechniques de sélection.
Épreuve de sélection: tests psychotechniques qui ne demandent pas de préparation particulière.
Dossier de candidature
· Une demande manuscrite adressée au Ministre de la Santé ;
· Un extrait de naissance datant de moins de trois mois;
· Un extrait du casier judiciaire de moins de trois mois ;
· Une copie légalisée du certificat de nationalité ;
· Un certificat médical de visite et contre –visite de moins de trois mois ;
· Une copie certifiée conforme du bac ;
· Une enveloppe timbrée portant l’adresse exacte du candidat ;
· 2000F de frais de dossier
Les dossiers sont reçus à la Division de la Formation du Ministère de la Santé, de l’Hygiène et de la Prévention.
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Type
concours
Date début dépot dossier
20-Jan-2015
Date cloture des dépots
Date concours
Je n`ai pas bien compris votre demande Alassane ! Sorry...
Vous demandez des informations sur le métier de travailleur social et la date du prochain concours... Et vous avez commence la rédaction de votre projet de recherche ???!!! Bon... Je ne sais pas si c`est l`école qui vous intéresse mais voila ce que j`ai pu trouver. Bonne continuation !
École Nationale de Formation en Économie Familiale et Sociale (ENFEFS)
Concours 2015 Debout des inscriptions Lundi 02 Février 2015
Clôture des inscriptions Vendredi 27 Mars 2015
Date du concours Mercredi 22 et Jeudi 23 Avril 2015
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A l`attention de MAMADOU TOURE ...
Bonne chance !
AVIS DE CONCOURS CFJ 2015
Dans le cadre du programme de recrutement de la Fonction publique, le Centre de formation Judiciaire (CFJ) a été autorisé à recruter quarante (40) greffiers au titre des quotas cumulés de 2014 et 2015.
SOUS - SECTION GREFFE
Concours direct : sont recrutés par voie de concours direct les candidats de nationalité sénégalaise âgés de trente-trois (33) ans au plus au premier janvier de l’année du concours et titulaires du baccalauréat ou d’un diplôme admis en équivalence, remplissant les conditions générales d’accès à la Fonction publique.
Pièces à fournir :
Fiche de renseignements(télécharger la fiche ici; disponible au Centre de Formation Judiciaire),
Demande manuscrite adressée au Directeur du CFJ sous couvert du Ministre de la Justice
Photocopie certifiée conforme de la carte nationale d’identité,
Certificat de nationalité sénégalaise,
Extrait du casier judiciaire datant de moins de trois mois,
Certificat de visite et de contre visite médicale de moins de trois mois,
Photocopie du baccalauréat certifiée conforme,
Une enveloppe timbrée à l’adresse du candidat (envoi convocation),
Frais d’inscription 5 200FCFA payable au niveau des agences de la SGBS sur les comptes mentionnés sur la fiche de renseignements,(Télécharger la fiche de versemenet SGBS)
CONCOURS DES DOUANES 2014 / 2015
L'avis de concours, c'est ici: http://www.douanes.sn/
LA FICHE DE RENSEIGNEMENTS
http://www.douanes.sn/
LE CONCOURS PROFESSIONNEL
LES EPREUVES ECRITES DES ANNEES PASSEES
http://www.douanes.sn/
BON COURAGE !
REPUBLIQUE DU SENEGAL MINISTERE DE L’ ENSEIGNEMENT PRESCOLAIRE, DE L'ELEMENTAIRE, DU MOYEN SECONDAIRE, DES LANGUES NATIONALES ******** |
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CALENDRIER GENERAL DES EXAMENS ET CONCOURS (SESSION 2010) |
N° d'Ordre |
EXAMENS ET CONCOURS |
NATURE |
DATES |
OUVERTURE
|
CLOTURE |
MINISTERE ORGANISATEUR |
Janvier 2010 | ||||||
1 | Epreuves Théoriques et Pratiques du CAEEFS | E | Lundi 11 Janvier 2010 | En relation avec l’ENFEFS | En relation avec l’ENFEFS | METFP/DECP |
Mars 2010 | ||||||
2 | Concours Général EPS : Présélection | C | Initiative I.A. | Initiative I.A. | Initiative I.A. | Sports |
Avril 2010 | ||||||
3 | Concours d’entrée en 1ére Année B.T.I | C | Lundi 5 Avril 2010 | Lundi 18 Janvier 2010 | Vendredi 19 Mars 2010 | DECP/METFP |
4 | Concours d’entrée en 1ére année de l’Ecole Nationale de Formation Hôtelière et Touristique | C | Samedi 17 Avril 2010 | Lundi 8 Février 2010 | Vendredi 26 Mars 2010 | MATRSPSI |
5 | Concours direct d’entrée en 1ére Année à l’ENFEFS | C | 21 et 22 Avril 2010 | Lundi 1 Février 2010 | Vendredi 2 Avril 2010 | DECP/METFP |
6 | Concours Général EPS | C | 20 et 21 Avril 2010 | Initiative I.A. | Initiative I.A. | MEPEMSLN/IA |
7 |
Concours direct d’entrée à l’ENDSS et dans les Centres régionaux de formation en Santé (St –Louis, Kaolack, Tambacounda) |
C |
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* Option Infirmer d ’Etat | 8 et 9 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Vendredi 19 Février 2010 | MSP | ||
*Option SageFemme d’Etat | 6 et 7 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Vendredi 19 Février2010 | MSP | ||
8 | Concours direct d’entrée au Centre national de formation de Techniciens en Maintenance Hospitalière (CNFTMH) | C | Mardi 6 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Vendredi 19 Février 2010 | MSP |
9 | Concours direct d’entrée dans les centres régionaux de formation en santé de Thiès-Kolda-Ziguinchor et Matam : section Assistant Infirmier | C | Samedi 24 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Vendredi 19 Février 2010 | MSP |
10 | Concours direct d’entrée à l’Ecole Nationale de Développement sanitaire et social (ENDSS) sous section Agent de l’Hygiène | C | Samedi 7 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Vendredi 19 Février 2010 | MSP |
11 | Concours direct d’entrée à l’Ecole Nationale de Développement sanitaire et social (ENDSS) Département d’Etudes en sciences sociales section : Assistant social | C | Vendredi 9 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Vendredi 19 Février 2010 | MSP |
12 | Section: TLPD | C | 7 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Vendredi 19 Février 2010 | MSP |
Section: Préparateur en Pharmacie | C | 8 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | ||
Section: Aide Social | 8 Avril 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | Jeudi 14 Janvier 2010 | |||
Concours Professionnel |
6 Avril 2010 |
Jeudi 14 Janvier 2010 |
Jeudi 14 Janvier 2010
|
|||
Mai 2010 | ||||||
13 | CFEE/EPS | E | 1ére Semaine Mai 2010 | Initiative IA&IDEN | Initiative IA&IDEN | MEPEMSLN/IA |
14 | Concours Général Sénégalais : Epreuves Ecrites | E | A partir du 3 Mai 2010 | Mercredi 3 Février 2010 | Mercredi 10 Mars 2010 | MEPEMSLN/OBAC |
15 | Concours d’entrée en 1ére année de | |||||
*BTS/Comptabilité : A partir de 8Heures | C | Mercredi 5 Mai 2010 | Lundi 15 Mars 2010 | Vendredi 16 Avril 2010 | DECP/METFP | |
*BTS/Secrétariat-bureautique : A partir de 13 Heures |
C
|
Mercredi 5 Mai 2010 |
Lundi 15 Mars 2010 |
Vendredi 16 Avril 2010
|
DECP/METFP |
|
16 |
Concours d’entrée en 1ére année du BTS Commerce International Concours d’entrée en 1ére année du BTS en conduite gestion et exploitation agricole |
C
C |
Jeudi 6 Mai 2010
6 Mai 2010 |
Lundi 15 Février 2010
Lundi 15 Février 2010 |
Vendredi 16 Avril 2010
Vendredi 16 Avril 2010 |
DECP/METFP
DECP/METFP |
17 | Concours d’entrée en 1ére Année du BTS diététique | C | Mercredi 12 Mai 2010 | Lundi 22 Février 2010 | Vendredi 23 Avril 2010 | DECP/METFP |
18 | Brevet Supérieur de Capacité 1ére et 2éme partie | E | 18 et 19 Mai 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Mercredi 31 Mars 2010 | MEPEMSLN/DEXC |
19 | BEP et BT / EPS | E | A partir du 19 Mai 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Mercredi 31 Mars 2010 | MEPEMSLN/IA |
20 | Session de remplacement BEP et BT / EPS | E | Samedi 29 Mai 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Mercredi 31 Mars 2010 | MEPEMSLN/IA |
21 | Concours d’entrée CNFTPA | C | Mercredi 12 Mai 2010 | Lundi 1 Février 2010 | Lundi 7 Mai 2010 | MEMTMPP |
22 |
Concours d'entrée à l'Ecole Militaire de Santé *BEP /Comptabilité : A partir de 8 Heures + BEP Indusrie |
C |
24 et 25 Mai 2010
Mercredi 26 Mai 2010 |
A l'initiative de l'EMS
Mardi 9 Mars 2010 |
A l'initiative de l'EMS
Samedi 8 Mai 2010 |
DECP/METFP |
23 | *BEP/CASI : A partir de 13 Heures | C | Mercredi 26 Mai 2010 | Mardi 9 Mars 2010 | Samedi 8 Mai 2010 | DECP/METFP |
24 |
Concours d'entrée en 1ère année BEP Industrie Examen BEP/Comptabilité – Epreuves Anticipées de Dactylographe |
C
E |
Jeudi 2 Septembre 2010
Lundi 31 Mai 2010 |
Mardi 22 Juin 2010
Lundi 22 Février 2010 |
Samedi 21 Aout 2010
Vendredi 30 Avril 2010 |
METFP/DECP
METFP/DECP |
25 | Epreuves Facultatives du BAC (Dessin-Couture-Musique) | E | Mercredi 26 Mai 2010 | Mardi 3 Novembre 2009 | Vendredi 8 Janvier 2010 | ME/OB |
26 | Epreuves facultatives du BAC (Langues) | E | Samedi 29 Mai 2010 | Mardi 3 Novembre 2009 | Vendredi 8 Janvier 2010 | ME/OB |
27 | EPS : BEP-BT-CAP / Artisanat | E | Mercredi 19 Mai 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Vendredi 26 Février 2010 | MEPEMSLN/IA |
28 | Examen du CAEEFS (Pédagogie pratique) | E | Lundi 31 Mai 2010 | en relation avec l'ENFEFS | en relation avec l'ENFEFS | METFP/DECP |
Juin 2010 | ||||||
29 | Examen BT Bureautique | E | Mercredi 9 Juin 2010 | Lundi 22 février 2010 | Vendredi 23 Avril 2010 | METFP/DECP |
30 | Examen BT Comptabilité | E | Mercredi 9 Juin 2010 | Lundi 22 février 2010 | Vendredi 23 Avril 2010 | DECP/METFP |
31 | Examen BEP / Industrie (Toutes Options) | E | Mercredi 2 Juin 2010 | Lundi 15 février 2010 | Vendredi 16 Avril 2010 | METFP/DEC |
32 | Examen BT Industrie (Toutes Options) | E | Jeudi 10 Juin 2010 | Lundi 22 Février 2010 | Vendredi 23 Avril 2010 | MSET |
33 | Examen BTS / Tourisme | E | Jeudi 10 Juin 2010 | Jeudi 1 Avril 2010 | Vendredi 7 Mai 2010 | MATRSPSIT |
Examen BTS Gestion Hotellerie | E | Jeudi 10 Juin 2010 | Jeudi 1 Avril 2010 | Vendredi 7 Mai 2010 | MATRSPSIT | |
Examen BEP Restauration | E | Jeudi 10 Juin 2010 | Jeudi 1 Avril 2010 | Vendredi 7 Mai 2010 | MATRSPSIT | |
Examen BEP Réception |
E |
Jeudi 10 Juin 2010 |
Jeudi 1 Avril 2010 |
Vendredi 7 Mai 2010 |
MATRSPSIT |
|
34 | Examen CAP/Dactylo-Aide Comptable- Employé de Banque | E | Mardi 8 Juin 2010 | Lundi 22 Février 2010 | Vendredi 23 Avril 2010 | DECP/METFP |
35 | Concours d’entrée en 6éme au lycée et CFEM Franco Arabe | C | Jeudi 10 Juin 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Vendredi 26 Février 2010 | MEPEMSLN/O.BAC |
36 | Epreuves anticipées du BAC : Philo Séries S & L | E | Jeudi 10 Juin 2010 | Mardi 3 Novembre 2009 | Vendredi 8 Janvier 2010 | MEPEMSLN/O.BAC |
37 |
Epreuves d’éducation physique du BAC *Session normale |
E |
Du 8 au 17 Juin 2010 |
Mardi 3 Novembre 2009 |
Vendredi 8 Janvier 2010 |
MEPEMSLN/O.BAC |
38 | * Session de remplacement | E | Organisée par le Jury | Organisée par le Jury | Organisée par le Jury | MEPEMSLN/O.BAC |
39 | Examen CAP Horticulture | E | Sur Initiative CFPH | Sur Initiative CFPH | MAH | |
40 | Examen du BT Horticulture (BTH) | E | Sur Initiative CFPH | Sur Initiative CFPH | MAH | |
41 | Examen du Brevet Professionnel Horticulture | E | Sur Initiative CFPH | Sur Initiative CFPH | MAH | |
42 |
Concours d’entrée en 1ére Année CAP Horticulture Concours d’entrée en 1ére Année BT Horticulture |
E
E |
Sur Initiative CFPH Sur Initiative CFPH |
Sur Initiative CFPH Sur Initiative CFPH |
MAH
MAH |
|
43 |
Examen BEP : Comptabilité Examen BEP : CASI et Secrétariat |
E
E |
Mercredi 16 Juin 2010 Mercredi 16 Juin 2010 |
Lundi 22 Février 2010
Lundi 22 Février 2010 |
Vendredi 30 Avril 2010 Mardi 4 Mai 2010 |
DECP/METFP
METFP/DECP |
44 |
Epreuves d’éducation physique du BFEM *Session de Remplacement |
E
E |
A partir du 21 Juin 2010
Samedi 3 Juillet 2010 |
Lundi 4 Janvier 2010
Lundi 4 Janvier 2010 |
Vendredi 26 Février 2010
Vendredi 26 Février 2010 |
MEPEMSLN/IA
MEPEMSLN/IA |
45 | Examen CAFMEFS épreuves écrites et orales | E | Mardi 15 Juin 2010 | Initiative ENFEFS | Initiative ENFEFS | METFP/DEC |
46 | Epreuves écrites du BAC des séries G, T, F6 | E | Lundi 21 Juin 2010 | Mardi 3 Novembre 2009 | Vendredi 8 Janvier 2010 | MEPEMSLN/O.BAC |
47 | CFEE /Entrée en 6éme | E/C | 23 et 24 Juin 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Vendredi 26 Février 2010 | MEPEMSLN/DEXC |
48 | Coucours direct et professionnel de recrutement d'agents de police | 15 et 16 Juin 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Jeudi 18 Février 2010 | MINT | |
Juillet 2010 | ||||||
49 | BAC de l’enseignement secondaire général séries S & L Epreuves autres que la Philosophie | E | A partir du 1er Juillet 2010 | Mardii 3 Novembre 2009 | Vendredi 8 Janvier 2010 | MEPEMSLN/OB |
50 | Examen du BTS/Toutes Spécialités (Second&Ter) | E | Mardi 6 Juillet 2010 | Lundi 22 Mars 2010 | Vendredi 30 Avril 2010 | DECP/METFP |
51 | Examen du CAP Industrie (Toutes Options) | E | Mercredi 7 Juillet 2010 | Lundi 22 Février 2010 | Vendredi 30 Avril 2010 | DECP/METFP |
52 | Examen du BP Banque | E | Mardi 13 Juillet 2010 | Lundi 22 Février 2010 | Vendredi 30 Avril 2010 | DECP/METFP |
53 | BFEM Session Normale | E | Mardi 20 Juillet 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Mercredi 31 Mars 2010 | MEPEMSLN/O.BAC |
54 | Concours d’entrée au CNEPS de Thiès | C | 2éme Quinzaine | Sur initiative CNEPS | Sur initiative CNEPS | M.J.S.L |
55 | Capitaine de pêche | E | Du 5 Juillet au 18 Juillet 2010 | Sur initiative ENFM | Sur initiative ENFM | MEMPTM |
56 | Lieutenant de pêche | E | Du 5 Juillet au 18 Juillet 2010 | Sur initiative ENFM | Sur initiative ENFM | MEMPTM |
57 | Brevet capaciataire à la navigation Maritime (BCNM) | E | Du 5 Juillet au 18 Juillet 2010 | Sur initiative ENFM | Sur initiative ENFM | MEMPTM |
58 | Officier mécanicien 3ème classe | E | Du 5 Juillet au 18 Juillet 2010 | Sur initiative ENFM | Sur initiative ENFM | MEMPTM |
59 | Permis de conduire Moteur 200 Kw | E | A partir du 8 Juillet 2010 | Sur initiative ENFM | Sur initiative ENFM | MEMPTM |
Semptembre 2010 | ||||||
60 | Concours d’entrée en 1ére Année BTS Industrie | C | Mercredi 8 Septembre 2010 | Lundi 14 Juin 2010 | Vendredi 13 Aout 2010 | DECP/METFP |
61 | Concours d’entrée dans les CNFT | C | Mercredi 15 Septembre 2010 | Lundi 5 Juillet 2010 | Vendredi 10 Septembre 2010 | DECP/METFP |
Octobre 2010 | ||||||
62 | BAC : Session de Remplacement (sauf F6-T-S3-S4-S5) | E | Mercredi 6 Octobre 2010 | Mardi 3 Novembre 2009 | Vendredi 8 Janvier 2010 | MEPEMSLN/OBAC |
63 | BFEM : Session de remplacement | E | Jeudi 14 Octobre 2010 | Mardi 20 Juillet 2010 | Mercredi 20 Septembre 2010 | MEPEMSLN/DEXC |
64 | Lieutenant Maritime marchande | C | Mercredi 13 Octobre 2010 | Mercredi 1 Septembre 2010 | Mardi 12 Octobre 2010 | MEMPTM |
Décembre2010 | ||||||
65 | Concours professionnel ENFEFS | C | 1 et 2 Décembre 2010 | Lundi 20 Septembre 2010 | Vendredi 19 Novembre 2010 | DECP/METFP |
66 | Examen CAFMEFS : épreuves pratiques | E | En relation avec l’ENFEFS | En relation avec l’ENFEFS | En relation avec l’ENFEFS | DECP/METFP |
67 | CAP et CAEP Enseignement | E | 17 et 18 Décembre 2010 | Lundi 4 Janvier 2010 | Mercredi 30 Juin 2010 | MEPEMSLN/DEXC |
ONG Américaine basée à Thies
L’ONG SENECORPS avec la partcipation des sourds muets américains organise un séjour au Sénégal d'enfants atteints de surdité en fin de scolarité afin de sensibiliser à les populations à la gestion de ce handicap.
Les enfants sourds, malgré leur handicap ont droit à l’éducation , à la formation, à l’emploi et à l’épanouissement physique ou moral.
DOOM DOOM LA...
OISILLONS BLESSES
Obsession hantise ombres et signes
Des images tournent et virevoltent
Puis s'écoulent larmes de pluie
Larmes d'enfants privés de rires
Enfants à l'avenir incertain voilé
Oiseaux effarouchés errant vers l'inconnu
Héler l'espoir face aux causes perdues
A l'indifférence la peur d'exister de vivre
Mains tendues signes mimes et lumière
Regards et sourires surgis de la Vie
Gouttelettes d'espoir amour et action
Il n'y a pas de route toute traçée ici bas
Nous errons dans des méandres sinueux
Venez tous vous qui aimez...
Il nous faut construire le Nid le Refuge
Bâtir un lendemain pour une enfance blessée
Innocence meurtrie qui chemine
Sur nos sentiers abrupts...
Marilou Gingimbre
Et Focus Africa Sénégal
La fondation William et Flora Hewlet a appuyé en 2009 une évaluation des compétences fondamentales en lecture au Sénégal. Cett évaluation a été réalisée par de nombreux partenaires locaux et internationaux avec le soutien du Ministère de l'Enseignament préscolaire, de l'élémentaire, du moyen secondaire et des langues nationales.
L'évaluation a eu lieu de Mai à Juin 2009 dans des classes de CE1 ( troisième année de scolarité) à travers 50 écoles situées dans 11 régions du Sénégal.
Les résultats ont été le sujet d'analyse de Juillet à Novembre, et ont été présentés aux directions concernées du Ministère cité ci dessus lors d'une séance de travail le 16 Novembre 2009.
RESULTATS GLOBAUX DE L'ETUDE
Les résultats en lecture du français sont basé sur un échantillon aléatoire de 687 évaluations d'élèves dont 51 % de garçons et 49 % de filles. De plus, des entretiens avec 50 Directeurs d'écoles et 70 Maîtres / Maîtresses ont permis d'analyser les performances des élèves en fonction des conditions des écloes qui présentent des résultats très différents.
Globalement, les résultats indiquent que le nombre d'élèves ne sachant pas lire du tout est très élevé - Près d'un élève sur cinq n'a pas pu lire un seul petit mot d'une petite histoire ( soit 123 élèves sur les 687 étudiés). Parmi les élèves qui ont pu entamer la lecture de l'histoire, les résultats demeurent néanmoins très faibles, avec une moyenne de 22,5 mots correctement lus par minute. On note en plus une très faible performance en compréhension pour tous les élèves, étant donné que cinq élèves ont pu répondre correctement à au moins 5 sur 6 des questions de compréhension.
Finalement, on observe de grandes différences de performances entre les élèves de l'échantillon, parfois issus de la même école.
RESULTATS DETAILLES
A travers des questionnaires,sur l'environnement de l'élève et de l'école, et sur les caractéristiques des Maîtres et Directeurs, l'étude permet d'identifier des facteurs liés aux performances des élèves en lecture. Par exemple:
* L'élève possède le livre du programme et/ou d'autres livres de français à la maison.
* L'élève a fréquenté la maternelle/ préscolaire
* Un membre du foyer de l'élève sait lire
* L'enseignant consacre plus de 4h par semaine à l'enseignement du français
* L'enseignant possède au moins le BAC
* L'enseignant consacre du temps à travailler ( lire, écrire) avec les élèves de manière individuelle
* Le Directeur est titulaire d'un diplome de l'enseignement supérieur
* L'école et / ou la maison possèdent de l'électricité
En conclusion, les résultats démontrent des inégalités importantes dans le système d'éducation favorisant les élèves qui ont commencé leur scolarité tôt, et pouvant acquérir des compétences communicatives en français à travers un environnement léttré et soutenu par des adultes compétents. Les actions possibles visant à réduire ces inégalités sont multiples.
Cependant, il est tout d'abord necessaire d'engendrer une prise de conscience nationale des besoins et de responsabiliser ceux qui ont le pouvoir d'agir - y compris les parents et membres de la communauté.
MOYENNE PAR DEPARTEMENTS
On observe des départements et des ecoles au sein des départements où les élèves lisent en moyenne 40 mots par minute et d'autres où presque tous les élèves ont un score nul et par conséquent des moyennes ne dépassant pas 10 mots par minute: autrement dit, un mot toutes les 6 secondes.
Sachant que pour lire de manière efficace et comprendre un texte lu, il est necessaire de lire au moins 50 mots par minute, aucun département n'a encore atteint ce seuil de performance moyenne.
Le meilleur score en lecture enregistré dans l'échantillon de a été de 134 mots par minute.
Cependant, au total, senlement 9% des élèves de l'échantillon lisent 50 mots par minute ou plus.
Le peu d'élèves qui ont réussi à répondre correctement à toutes les questions de compréhension font partie de ce groupe. Par ailleurs, 50 mots par minute est une cible résonnable pour la fin de la première année d'études dans beaucoup de pays.
Early Grade Reading Assessment - EGRA
Le Sénégal a connu plusieurs types d'évaluation des acquis en lecture et mathématiques durant les récentes dernières années, telles que le PASEC ( Régionales) ou le SNERS ( Nationale).
Pour ces programmes les scores sont calculés en termes de pourcentages de bonnes réponses aux tests et s'interprètent soit par rapport aux autres pays soit par rapport à des objectifs de score minimum. Ce sont donc des outil de diagnostique faisant référence à des normes.
La présente étude quant à elle, met en application un outil d'évaluation connu sous le nom d' AGRA . Cet outil de diagnostique fait référence à des critères. La note issue de ce diagnostique est le nombre de mots correctement lus par minute. Le niveau actuel est évalué contre un standard international de performance défini sur la base de la recherche à la fois internationale et au Sénégal. Ce niveau minimum souhaité pour devenir un bon lecteur se situe entre 45 et 60 mots par minute. Une lecture plus hésitante ne permet pas une compréhension adéquate.
Ces résultats doivent bien sûr être interprétés en considération du contexte Sénégalais, notamment le fait que les élèves apprennent à lire dans un langage qui, pour un bon nombre d'entre eux, n'est pratiquement pas utilisé, ni parlé, ni écrit, ni lu, ni entendu en dehors de l'école.
L'association des Femmes pour les sciences et la technologie / Sénégal organise, dans le cadre de la journée de la renaissance scientifique de l'Afrique, son 10 ème anniversaire au Conseil Régional de Thies.
Mme Rufina Sarr Dabo - Présidente de l'association
Cette journée est organisée en partenariat avec le Ministère de l'enseignement Supérieur et de la Recherche scientifique et l'inspection d'académie de Thiés.
Un panel planche sur le thème " Sciences et développement durable au Sénégal: le rôle des femmes scientifiques et ingénieures".
Cette cérémonie a été le prétexte pour rendre un hommage à Mme Rose Dieng Kuntz .
Mme Rose Dieng Kuntz Première polytechnicienne de l'Afrique.
Elle a été récompensée comme « la scientifique de l’année 2005 » pour ses recherches sur l’intelligence artificielle par le prix Irène Joliot-Curie - Née en 1956 - Décédée le 30 juin 2008
Mme Kuntz Rose Dieng
- Née à Dakar en 1956, elle est issue d’une famille de 7 enfants et a reçu une éducation très stricte.
- Lycée Van Vollenhoven de Dakar (Sénégal) -1er prix en mathématiques, en français et en latin au concours général sénégalais 1972, et le 2ème prix en grec, lauréate du baccalauréat section scientifique avec mention très bien et les félicitations du jury.
- Ancienne élève de l’Ecole Polytechnique de Paris en 1976
- Diplômée de l’Ecole Nationale Supérieure des Télécommunications, d’un DEA en informatique et titulaire d’une thèse sur la spécification du parallélisme, elle intègre l’INRIA en 1985.
- Responsable scientifique de l’équipe-projet EDELWEISS au Centre de recherche INRIA Sophia Antipolis – Méditerranée
- Chevalier de l’Ordre National du Lion
- Chevalier de la Légion d’Honneur
- Prix Irène Joliot-Curie 2005 distinguant ainsi une femme qui s’est affirmée par son parcours et sa contribution à la science.
« Au niveau du futur, ma vision est celle d’un web de connaissances reliant individus, organisations, pays et continents. Les travaux que nous visons pour améliorer la coopération entre entreprises et communautés via la constitution de « webs de connaissances » sont en phase avec l’objectif visé par l’Europe d’évoluer d’une « société d’information » vers une « société de connaissances », expliquait à son tour Rose Dieng-Kuntz
Très impliquée dans l’animation scientifique de la communauté nationale et internationale de recherche, Rose Dieng-Kuntz a, toute sa vie durant, œuvré pour transmettre sa passion à des jeunes (en particulier à des jeunes filles).
- Décédée le 30 juin 2008
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RESEAU DES ACTEURS DE LA PEDAGOGIE INCLUSIVE
La journée internationale de l'enfant Africain a été le pretexe d'une réflexion sur le thème de l'éducation inclusive au Sénégal.
Réunis au ministère de l'éducation nationale sous la présence effective de M. Malick Soumaré( Direction de l'enseignemant privé), les acteurs de la pédagogie inclusive ont posé les premiers jalons d'un réseau pour la mise en synergie des actions menées pour l'enfant handicapé.
Il s'agira, dès lors, de ratisser large en invitant tous les acteurs intervenant dans le secteur de l'éducation afin de fédérer les actions.
COMPTE RENDU OFFICIEL DE REUNION AU MINISTERE DE L'EDUCATION NATIONALE
RESEAU DES ACTEURS DE LA PEDAGOGIE INCLUSIVE
Ce mardi 15 juin 2010, au Ministère de l’Enseignement Préscolaire du Moyen Secondaire et des Langues Nationales, de 15h30 à 16h 30 s’est tenue la première réunion du Comité d’initiative.
Etaient représentées les structures suivantes (cf. feuille de présence) : CESES-SOS ENFANT SOURD-LES PRINCES D’HANDISCOLE-RENAISSANCE DES SOURDS-INSTITUT LA LUMIERE- CABINET CONSULTANCE LES LAURIERS-DIVISION ENSEIGNEMENT PRIVE DU MEPEMSLN.
Après un bref tour d’horizon, les différents participants ont tiré les constats suivants :
· Considérant qu’à la veille de la célébration de la Journée internationale de l’Enfant africain (16 juin), aucune initiative n’est faite envers les structures accueillant des enfants à besoins éducatifs représentés ;
· Considérant les engagements et avancées que le Sénégal a faits par l’adoption de la Loi d’orientation sociale relative à la promotion des droits des personnes handicapées ce mois de mai 2010 ;
· Considérant la diversité des handicaps gérés par les différentes écoles privées, sans ressources ni moyens de l’Etat ;
· Considérant la lourdeur de la prise en charge des enfants handicapés ;
· Considérant l’environnement juridique favorable pour une meilleure prise en charge de l’enfance handicapée ;
· Considérant la centralité de l’école dans la gestion inclusive du handicap ;
· Considérant le déficit de coordination des acteurs et initiatives au bénéfice des handicapés ;
Décident :
Ø De rompre avec l’inertie et l’attentisme pour prendre toutes les initiatives dans l’intérêt des enfants handicapés ;
Ø de collaborer pour mettre en place un réseau des acteurs pour la mise en place du Réseau des Acteurs de la Pédagogie Inclusive.
Ø De coopérer aux plans local, national et international à la bonne prise en charge des enfants handicapés ;
Ø De mutualiser leurs ressources, expériences pour améliorer l’environnement des structures accueillant des enfants handicapés ;
Ø D’accueillir toutes les structures et personnes ressources animées du même idéal ;
Ø De participer à l’atelier des 14 et 15 juillet 2010 pour « assurer l’accession des enfants porteurs de handicap dans les écoles d’ici 2015 » ;
Ø Préparer tous les événements locaux, nationaux et internationaux intéressant les enfants handicapés ;
Ø De contribuer à l’élaboration d’un plan d’action global prenant en charge les activités majeures des structures intéressées.
Invitent :
§ Toutes les initiatives similaires à rallier le groupe lors de sa prochaine réunion le lundi 28 juin 2010 à 15h dans les locaux du Ministère de l’Enseignement Préscolaire du Moyen Secondaire et des Langues Nationales;
§ Les différentes personnes et structures ressources à contribuer par leurs idées et propositions à l’enrichissement des idées.
Fait à Dakar, ce 16 juin 2010.
Etaient présents
structures | Participant | Contact | |
Cabinet Consultance les Lauriers | Mme Marie Louise SOCK | 77 550 91 33 | |
Handiscole | Mme Anna GAYE | 77 653 23 96 | |
Ecole renaissance des Sourds | Famara MANDIAN | 77 682 62 67 | |
CEIDA/CESES | Papa Oumar FAYE | 33 822 99 50/ 77 657 50 92 | |
Institut La Lumière | Aïssatou BADJI | 77 528 44 02/ 33 867 40 90 | badji aissa@yahoo.fr |
SOS ENFANTS SOURDS THIES | Ibrahima SAMB | 77 201 01 87 |
|
DIVISION ENSEIGNEMENT PRIVE | Malick SOUMARE | 33 822 19 12 77 655 28 16 |
Mme SOCK et Ibou Niébé le petit bonhomme vert
Logiciel pédagogique sur les sciences conçu et filmé par Picture Box de Mme Marie KA
Vous vous êtes déjà demandé ce qu’est l’eau ? On s’en sert très souvent. Ca vous dit d’en savoir plus ?
Qu’est ce que l’eau ? C'est un liquide...
La goutte d'eau
Elle vient des rivières ou parfois des lacs souterrains. Elle est pompée puis nettoyée pour éliminer toutes les saletés.
Il y a beaucoup d’autres liquides.
De l'huile...
L’eau est un liquide précieux parce qu’il est à l’origine de la vie. Sans eau, il n’y aurait pas de vie sur terre. Elle est indispensable aux hommes, aux animaux, aux plantes.
Une terre aride du sahel
Vaches faméliques.de pays sahéliens.
Boire une eau saine... Lorsqu'elle est propre et qu'on peut la boire, on dit qu'elle est potable.
L’eau constitue 75 % de la surface de la planète terre qui est aussi appelée planète bleue. C’est la seul planète à avoir ce liquide précieux. L’eau est la composante essentielle du corps humain.
La Terre, planète bleue...
Le corps humain est composé de 65 % d'eau.
D'où vient l'eau du robinet ?
Elle suit tout un circuit. Il y a la station de pompage, d'épuration, le chateau d'eau...
C'est une eau mise dans un réservoir appelé chateau d'eau souvent placé en hauteur. Il est relié aux maisons par des tuyaux. Ainsi l'eau peut couler dans les robinets.
De quoi est faite cette eau ?
Une molécule d’eau est formée de deux atomes d’hydrogène qui se trouvent de chaque côté d’un gros atome d’oxygène. Les atomes sont reliés par des éclairs d’électricité. C’est la plus petite quantité d’eau qui existe. Les adultes utilisent la formule H2O.
Une molécule d'eau...
Il y a 33 milliards de milliards de molécules dans un gramme d’eau. Ce qu’il y a de plus fascinant chez l’eau, c’est qu’il est capable de changer de forme ou d’état. Liquide, elle existe également sous forme solide ou gazeuse.
Eau à l'état liquide
Vapeur d'eau
Glace
Lors de la congélation ou plus exactement de la solidification, l’eau se transforme en glace. Quand cette glace fond, elle redevient de l’eau.
L’eau gazeuse devient invisible. On la trouve plus souvent dans cet état dans la nature.
L’eau liquide, sous l’action de la chaleur, s’évapore. Elle se transforme en vapeur d’eau. Elle est donc passée de l’état liquide à l’état gazeux.
Schéma du cycle de l'eau
La propriété chimique principale de l’eau, c’est la dissolution d’autres éléments. On dit que l’eau est un solvant.
L’eau de mer est salée. Elle contient beaucoup de sel bien qu’on ne le voie pas. Le sel est complètement dissout dans l’eau. Quand l’eau s’évapore, se transformant en vapeur d’eau, on peut récupérer le sel.
La mer
Des marais salants
EXPERIENCE
Laisse une assiette contenant de l’eau de mer au bord de la fenêtre de la cuisine. Note ce que tu remarques tous les 3 jours sur ton cahier d’expériences. Que remarques-tu au bout d’un mois ?
Le sel et le sucre se dissolvent dans l’eau. Mais quand il y a trop de sel ou de sucre, l’eau ne peut plus le dissoudre. On dit qu’il y a saturation.
Quand on est dans l’eau, on est léger. C’est une propriété physique appelée principe d’Archimède. En fait, on n’est pas plus léger. Ce n’est qu’une impression. Voyons ce qui se passe.
Liège qui flotte...
L’eau versée dans la bassine pousse le bouchon de liège qui se met à flotter. Mais pourquoi les glaçons contenus dans un verre flottent ils ?
Glaçons qui flottent...
Expérience :
Remplir un verre d'eau et versez-y quelques glaçons.
Faites un petit trait à l'aide d'un marqueur pour indiquer le niveau.
Laissez fondre les glaçons et vérifier le niveau ...
Il n'a pas bougé...
Lorsqu’un glaçon est plongé dans un verre, il déplace 90% de son volume d’eau.
Mais lors de sa fonte, les 10% supplémentaires constitués d’air s’échappent.
En fondant, le glaçon perd ainsi 10% de son volume. On retrouve ainsi l’égalité suivante : 90% immergé = 90% d’eau dans le glaçon. Le volume d’eau n’augmente donc pas.
A suivre....
REPUBLIQUE DU SENEGAL
UN PEUPLE – UN BUT – UNE FOI
MINISTERE DE L’ENSEIGNEMENT PRESCOLAIRE
DE L’ELEMENTAIRE DU MOYEN SECONDAIRE
ET DES LANGUES NATIOALES
DIRECTION DE L’ENSEIGNEMENT ELEMENTAIRE
14ème SEMAINE NATIONALE DE L’ECOLE DE BASE
THEME :
« Les déperditions scolaires, un défi pour le système éducatif : tous pour l’achèvement du cycle élémentaire. »
A la suite des rencontres de Jomtien, 1990 et de Dakar 2000, la plupart des pays signataires du protocole de l’éducation pout tous se sont inscrits dans un processus de refondation du système éducatif.
Cette option est à l’origine de l’adoption par la communauté internationale de plans d’actions destinés à accroitre les possibilités d‘accès et d’apprentissage de qualité des enfants, des jeunes, des adultes dans le monde.
L’objectif visé est d’offrir à tous les citoyens les opportunités de pouvoir bénéficier équitablement d’une éducation de qualité et dans le même mouvement, engager la rectification des déséquilibres générés par une éducation qui ne prend pas toujours en charge la dimension équité. L’ampleur des disparités basées sur le sexe, l’ethnie, le niveau social ou économique de l’enfant, ralentissant considérablement tous les efforts de développement fournis jusque là, justifie pleinement ces actions.
En clair, le niveau assez bas de qualification du capital humain lié aux enjeux du millénaire, comparé à la faiblesse des indicateurs relatifs aux rendements internes et à l’absorption des diplômés, constitue un impératif déterminant pour la prise de décisions. C’est ainsi que, pour améliorer les rendements scolaires et résorber « une répartition injuste des chances de réussite dans la vie », la priorité est mise sur une éducation plus en adéquation avec les besoins réels de la société.
Cependant, ces plans d’action volontaristes n’nt pas engendré l’efficacité interne attendue des systèmes éducatifs. Le phénomène de l’échec scolaire constitue un défi majeur pour la plupart des ays surtout ceux en voie de développement. De ce point de vue, l’on comprend aisément l’émergence de la problématique des rendements comme contraintes essentielles à surmonter dans le développement des systèmes éducatifs. Le Sénégal n’échappe pas à cette situation avec des taux de redoublement et d’abandon encore très élevés plombant ainsi l’essor du taux d’achèvement qui se situe encore à 59,6 %.
LE CONCEPT DE DEPERDITION SCOLAIRE
Le terme de déperdition scolaire est générique. Il englobe à la fois l’idée d’abandon, de redoublement, de retard… dans le parcours de l’apprenant. C’est un concept qui renvoie très souvent à la notion d’échec scolaire, phénomène alors inconnu dans l’enseignement jusqu’aux années 60.
En vérité, avant les années 50, il était question que de succès – ou pour le moins d’insuccès – sur le plan scolaire. Les réussites étaient mises sur le compte de la qualité de maîtres, des intrants et / ou des institutions, tandis que les insuccès étaient exclusivement imputés à l’élève considéré alors soit comme étant paresseux, instable, sinon peu motivé. C’était l’époque où l’élève pouvait être jugé sur la base de ses performances comme organiquement et psychologiquement inapte. L’acquisition des connaissances était considérée comme fortement déterminée par des prédispositions physiques ou biologiques.
Dans les pays comme le Canada de nombreuses études abordent le phénomène de l’abandon solaire sous l’angle du « décrochage scolaire »,ce qui signifie en termes clairs : le fait de « quitter l’école avant la fin de l’obligation solaire, sans avoir obtenu un diplôme d’études secondaires » (cf. Multi dictionnaire des difficultés de la langue française, 1996 ). Toutefois, les difficultés rencontrées par les élèves dans leur cursus sont loin d’être tenue pou une fatalité…
En somme, l’on peut entendre par déperditions scolaires les redoublements et les abandons scolaires. Cette définition, en extension de l’échec scolaire, fait du phénomène une double face :
Il découle de ce qui précède que l’abandon prématuré du cycle d’étude et le redoublement de classe constituent bien, en définitive, deux formes par lesquelles l’échec scolaire se fait voir.
LES DEPERDITIONS SCOLAIRES DANS LE SYSTEME EDUCATIF SENEGALAIS
L’école Sénégalaise, l’enseignement primaire en particulier, souffre de l’insuffisance de ses rendements. Cette faiblesse est attestée par les différentes évaluations menées dés comme objectif dans le cadre du PASEC et du SNERS. Elle a aussi été attestée par l’évaluation de la deuxième phase du PDEF, qui souligne le niveau peu satisfaisant des performances escomptées.
Selon les conclusions du PASEC, seuls 15 % des élèves Sénégalais de l’enseignement élémentaire maîtrisent correctement les rudiments fixés comme objectif pour leur formation, malgré l’importance des investissements. L’on notera, dans le même ordre d’idées que 0,2 % seulement des élèves accèdent à la maîtrise globale, quand près de 30 % sont en voie de maîtrise. Or, il est admis aujourd’hui que la faiblesse de la qualité de l’éducation est une cause probable de déperditions.
L’examen de certains indicateurs clé, notamment les taux d’abandon, de redoublement, de transition CM2 / 6ème par académies et par IDEN dans l’enseignement primaire public, en fin d’année 2007/2008 (cf. tableaux en annexe), permet de se rendre compte du caractère massif des déperditions scolaires.
Le comportement de ces indicateurs témoigne de l’inefficacité des stratégies développées jusque là en vue d’améliorer les rendements internes.
La situation est d’autant plus préoccupante que l’on continue d’observer malgré l’interdiction du redoublement intra étape, des taux élevés au C.I. Les taux de redoublement dans certaines régions interpellent la communauté éducative tout entière. C’est le cas de Kolda (13,5 %) qui bat tous les records, de Dakar (11,5 %) de Diourbel (9,4 %) de Thiès (8,9 %) de Louga (7,3%) et de Kaolack (6,8%).
Concernant le cours moyen première année, dont le taux moyen se chiffre à 14,5%, la plupart des régions enregistrent des taux alarmants à l’exception de Matam (0,8 %) Fatick (6,7%) et Tamba (5,3%).
La situation reste tout aussi préoccupante à l’examen des taux d’abandon par Académie. L’on remarque des valeurs qui culminent au CM2 avec 30,95%. Mis en corrélation, avec les données de la transition CM2/6ème, ces taux renseignent sur les grands défis à relever sous peine de compromettre l’atteinte des OMD en 2015.
C’est la raison pour laquelle, la question de l’efficacité interne du système se place au cœur de la lettre de Politique sectorielle qui fixe les orientations stratégiques du PDEF dans sa troisième et ultime phase.
Si l’on se réfère aux axes tracés dans la lettre de Politique du Secteur, l’on se rend compte très vite que l’amélioration de l’efficacité interne du système doit se traduire par le relèvement sensible du taux d’achèvement de cycle primaire constitue une affaire de haute importance pour les autorités éducatives. Cependant, toute action efficace, dans cette perspective, suppose une parfaite maîtrise des causes à l’origine des déperditions.
QUELQUES FACTEURS EXPLICATIFS DES DEPERDITIONS SCOLAIRES
Les facteurs explicatifs des déperditions scolaires restent multiformes et parfois difficiles à appréhender.
L’analyse sectorielle (MINEDU/CREA 2004, Analyse du secteur de l’éducation, Dakar, DPRE) avait relevé « qu’un enfant habitant en zone rurale eut espérer passer 3,5 ans dans le cycle primaire alors que s’il habite en ville, il peut espérer y passer six ans. Le fait d’habiter en zone urbaine multiplie par deux, quasiment, la durée de scolarisation par rapport à une localisation en milieu rural. Dans tous les cycles, la proportion de filles qui achèvent les études est inférieure à celle des garçons ».
La même analyse sectorielle souligne que « lorsque l’on classe les ménages par quintiles de revenus, on observe deux phénomènes frappants : d’une part, les taux de scolarisation augmentent régulièrement lorsqu’on passe du premier au dernier quintile, d’autre part, les inégalités entre filles et garçons sont plus marquées pour les plus pauvres (quintile 1 et 2) que pour les plus riches (quintile 5). Les causes de ces difficultés ne sont pour autant pas aisées à identifier ; elles sont multiples et renvoient à plusieurs causes parmi lesquelles :
1. Les faiblesses du capital économique et social de l’enfant autrement dit, le coût de la scolarité dans un contexte marqué par des revenus limités.
2. Le non respect des instructions officielles en matière de redoublement et d’exclusion
3. L’absence ou la faible portée des stratégies de prise en charge correcte des élèves rencontrant des difficultés conjuguée à l’inexistence d’un suivi efficace à domicile.
4. Les punitions ou châtiments corporels pourtant interdits (chapitre II sur la Discipline, article 14 du décret 79-1165)
5. Le manque de sécurité dû à l’éloignement de l’école du domicile des élèves, surtout des filles.
6. L’inadéquation de l’environnement scolaire aux besoins des enfants
7. Certaines pratiques culturelles et sociales comme les mariages précoces et le travail des enfants.
8. La représentation parfois négative que la communauté se fait de l’école.
QUELLES SOLUTIONS FACE AU PHENOMENE DES DEPERDITIONS SCOLAIRES ?
A y regarder de près, l’on se rend compte que les déperditions scolaires tiennent à une variété de causes directes et indirectes pour le moins complexes et dont les remèdes doivent intégrer plusieurs dimensions.
Elles s’attaquent aux causes de déperdition liées aux effectifs pléthoriques, aux châtiments corporels, à l’environnement scolaire inadéquat, au défaut de motivation de l’élève ainsi qu’à l’absence de dispositifs appropriés de soutien pédagogique aux élèves en difficulté.
Des études menées par des psychologues montrent que chaque personne a sa façon de percevoir, de mettre en mémoire et de donner un sens à l’information qu’il reçoit. La compréhension de cette réalité éclaire alors la variabilité très grande observée parfois à l’égard des résultats aux examens des élèves, particulièrement de ceux qui présentent des difficultés d’apprentissage.
Pour les cognitivistes, « Apprendre à apprendre », grâce à la médiation offerte à l’enfant à travers les personnes significatives de son environnement scolaire et familial, débouche donc aussi sur apprendre à penser et ouvre la porte à une multiplicité d’intérêts, de telle sorte que rien ne freine plus le plaisir de la découverte de champs nouveaux à investiguer tout u long de sa vie. Pour que chaque enfant puisse évoluer de façon optimale, ses parents comme ses pédagogues doivent donc apprendre à le respecter dans son style cognitif, afin de tirer le meilleur parti de ses forces et lui donner tous les moyens requis pour que leur enseignement porte fruit, car on ne le dira jamais assez, « personne n’apprend tout à fait de la même façon ».
En clair, les techniques d’enseignement apprentissage ne doivent pas être exonérées de la différenciation au sein de la classe ; au contraire, elles constituent la voie royale pour asseoir des connaissances et des compétences durables.
1. Mise en place de dispositifs de soutien scolaire
Le développement de dispositifs de « remédiation » est, aujourd’hui, considéré comme indispensable à la prévention de l’échec scolaire. Lesdits dispositifs requièrent cependant des compétences pédagogiques et managériales avérées chez les enseignants.
En d’autres termes, le soutien personnalisé l’accompagnement éducatif, l’aide aux devoirs, les études dirigées, sont autant de stratégies à privilégier dans la lutte contre l’échec scolaire. Sous ce rapport, la technicité de l’enseignant, l’appui de la famille et de la communauté constituent des atouts certains dans le renforcement des chances de succès de l’enfant à l’école.
2. Les mesures à dimension administrative
Il faut mettre dans cette catégorie le respect scrupuleux des normes qui régissent le fonctionnement des établissements tels que le bannissement des châtiments corporels, l’interdiction des exclusions, la réglementation des redoublements…
3. Les mesures visant à la mise à niveau des écoles
Un grand nombre de projets centrés sur l’amélioration de la capacité de rétention du système éducatif se donnent comme priorités la mise en place d’un environnement scolaire sain, sécurisé et attractif. En effet, il n’y a point de doute sur le lien indissoluble entre l’environnement et la qualité des performances.
4. Les mesures à dimension économique
Sur le plan économique, les mesures doivent s’orienter vers le renforcement de la démocratisation de l’éducation par l’allègement des frais d’écolage, la généralisation des subventions aux écoles. Ce mouvement devrait s’accompagner de politiques vigoureuses et efficaces de réduction des disparités géographiques et de sexes. Il est aussi nécessaire d’avoir un meilleur ciblage des dépenses en éducation en portant une attention particulière aux jeunes filles, aux enfants des populations à faibles revenus, aux populations dans des zones urbaines à forte densité démographique.
5. La dimension socioculturelle
L’analyse des facteurs socio culturels constitue également un impératif en raison précisément du poids des réalités socio culturelles sur l’éducation notamment celle des filles.
Du fait de la complexité de ces réalités, la mobilisation de toutes les parties prenantes devient un impératif pour le système. Il est attendu, dans cette perspective, des stratégies innovantes, plus aptes à corriger les représentations et pratiques sociales de nature à favoriser les déperditions scolaires.
SEMAINE DE L’ECOLE DE BASE ET PROBLEMATIQUE DE LA DEPERDITION
Il n’y a aucun lien nécessaire entre la SNEB et la question des déperditions scolaires. La décision des autorités consistant à placer la 14ème semaine nationale de l’école de base se justifie par plusieurs raisons :
· La SNEB étant un moment de mobilisation de la communauté autour des grandes questions qui agitent l’école, s’offre comme un cadre privilégié pour poser et tenter de résoudre l’épineux problème des redoublements et abandons scolaires.
· Le caractère multidimensionnel de ces problèmes fait que les meilleurs remèdes dépassent largement le cadre strictement scolaire. Ils se situent, en vérité, dans la société globale. D’où la nécessité d’une approche globale, communautaire. Cette vision peut trouver dan la SNEB un cadre approprié pour se développer.
· Enfin, aucune manifestation dans le secteur de l’éducation ne peut aujourd’hui ignorer les OMD en éducation, notamment l’universalisation de l’achèvement du cycle élémentaire.
Au regard de ce qui précède, l’on peut comprendre aisément pourquoi le choix du thème « les déperditions scolaires, un défi pour le système éducatif : Tous pour l’achèvement du cycle primaire ».
Vu sous ce rapport, la SNEB sera prise comme un cadre de réflexion et d’échange sur les déperditions scolaires mais aussi pour initier des actions prioritaires en vue de réduire les pertes liées au phénomène de redoublement et d’abandon. De ce fait, le Ministère de l’Enseignement Préscolaire, de l’Elémentaire, du Moyen Secondaire et des Langues Nationales recommande vivement à toutes les autorités scolaires, administratives, locales ainsi qu’à toute la communauté de se mobiliser autour de la problématique.